Mon histoire

le prochain chapitre! le prochain chapitre!

Chapitre 21 (Le Directeur)

Je me retrouve donc face à ce fameux Directeur. C’était un homme d’environ 50 ans, assez athlétique et surtout, très autoritaire. Quand ont avaient affaire à lui, qui était tout en haut de la pyramide, c’était que les choses étaient très graves. Deux bagarres en quelques jours, ce n'était pas suffisant pour un renvoi peut-être, mais je m’attendais à une sanction très sévère. Je m’assois donc en silence devant lui et j’attends la suite.

Il se lève sans un mot en me regardant avec des yeux pénétrants, et il ferme la porte de son bureau. Dans un geste presque théâtral, sans cesser de me toiser du regard, il enlève doucement sa veste et la pose sur son bureau. Il dénoue et enlève sa cravate et retrousse ces manches de chemise. Il s’avance vers moi et me dit ‘‘Lèves toi!’’ Heuuu…Pardon? Il me dit ‘‘T’aimes ça te battre? Maintenant lèves toi et ont va se battre!’’ Hein? Moi je le regarde sans bouger mon cul de ma chaise et là mon cerveau tourne à toute vitesse.

J’évalue rapidement la situation. Premièrement il est sans exagérer 2 fois ma taille, donc si je me lève faudrait réellement pas que je rate mon coup cette fois-ci! Deuxièmement le règlement du Collège est clair, la sanction encourue pour frapper un prof, un surveillant ou tout autre personne du personnel, c’est le renvoi immédiat et là c’est mon père qui me tue! Troisièmement, je ne suis pas con et je sais bien que je suis mineur et donc que s’il me touche le premier c’est lui qui risque. Son petit jeu pour me faire peur ne fonctionnait pas vraiment, mais là il semblait très sérieux!

Je me raidis un peu dans le gros fauteuil en cuir, je jette un regard dans la pièce et je le regarde d’un air de défit. Il me dit ‘‘Quoi tu as peur? Allez, lèves toi! T’aime ça te battre non?’’ Dans le fond c’est peut-être vraiment ce qu’il voulait pour pouvoir me flanquer dehors. Il a continué ces simagrées en m’invitant les poings placer comme un boxeur.

Moi je le regarde, un petit sourire en coin sans bouger d’un poil, dans ma tête comme un Ninja, j’ai déjà plusieurs plans s’il s’avance et essai de me frapper. D’un bon je pourrais sauter sur son bureau, il y a ce téléphone que je peu lui foutre à la tronche, ouais! Ils étaient très massifs et lourds à l’époque. Ou cette lampe ou non plutôt ce pique pour les papiers que je pourrais lui foutre dans le front jusqu’au cerveau!

Il retourne alors derrière son bureau en déroulant et reboutonnant ses manches. Il me dit alors, sûrement certain de m’avoir terrorisé, ‘‘De toute façon, ont le sait toi et moi qui gagnerais si ont se battait hein?’’ Moi je le regarde et du haut de l’arrogance de mes 16 ans je lui réponds ‘‘Tu serais peut-être surpris!’’ Il fait mine de revenir vers moi et je me raidis un peu plus.

Il m’a alors regardé longuement sans rien dire immobile, il devait se demander ce que j’aurais l’air sans ma tête ou un truc du genre. En tout cas, ont dit qu’il n’y a pas plus dangereux qu’un animal qui a peur, et bien il avait sûrement pas idée que derrière mon petit sourire en coin, j’étais comme un ressort tendu prêt à exploser en cas de légitime défense. Il lance un long soupir et s’assoit finalement.

‘‘Ok me dit-il, tu ne veux pas te battre avec moi mais tu veux jouer les durs, et bien je vais te garder en retenu pendant toute une semaine!’’ Et il se fend d’un grand sourire satisfait! Et ça veut dire quoi ça? ‘‘Et bien sa veut dire que pendant une semaine, donc à partir de lundi prochain, le matin tu as une demi-heure pour déjeuner, ensuite tu viens ici et tu copies le dictionnaire, et tu retournes en cours tu as une demi-heure au dîner et souper, mais tu reviens ici à chaque pause et chaque période libre incluant les petites pauses de 15 minutes le matin et l'après-midi jusqu’au couché ou tu auras 30 minutes pour te laver avant l’extinction des feux et ce durant une semaine, ce qui veut aussi dire aucune cigarette!’’

Je le regarde les yeux exorbités! C’était déjà l’enfer dans ce foutoir, mais sans aucuns moments libres, sans cigarette, pendant toute une semaine? Je ne croyais pas que c’était surmontable et j’ai pensé qu’il devait être complètement fou! C’est impossible! Je lui dis ! Je vais partir! Son sourire de faux jeton s’élargit encore plus, ‘‘Mais c’est tout ce que je demande que tu partes! Vas-y, gênes toi surtout pas! Vas-t’en!’’ Je savais que si je partais de mon propre chef, mon père ne serait pas remboursé et qu’il serait furieux et ça c’était pire que tout. Je le regarde alors et je lui dis ‘‘Ok, est-ce que vous avez terminé?’’ Oui j’ai terminé, alors ont se voit lundi matin ou adieu, Monsieur le gros dur!’’ Qu’il me dit avec son sourire et sa face de fendant!

Je me suis levé et je suis sorti en pensant que tout ce qu’il voulait ce gros con finalement c’était que je parte et qu’au fond le renvoi n'était pas justifié, mais qu’en me provoquant comme ça ou en me donnant cette punition impossible, il arriverait à se débarrasser de moi, mais s’arrangerait ainsi pour garder le pognon de mon père. Son plan A n’avait pas marché en tout cas, bien qu’à ce moment, je devais l'imaginer avec ce pique à papier dans le front, mais merde! Il est carrément débile ce type! Comment voulez-vous endurer ce traitement une semaine, je vais devenir cinglé c’est impossible! Mais je suis coincé avec mon père! Et puis après un ou deux jours il ravisera peut-être sa punition? Non il veut ma tête c’est sûr, qu est-ce que je vais faire? Qu’auriez-vous fait?

Ca y est je me suis enfin décider a tous lire et je le regrette pas

Continu Aloha !!! j'suis a fond !!!!!!

trop fort, n'empeche il avait pas l'air sympathique ton directeur

Disons que la situation était un peu extrème! Attends d'entendre la suite!

Chapitre 21 (Le Directeur) (suite)

Le lundi matin après le déjeuner, je me présente donc chez le Directeur. Il m’installe devant son bureau il y avait une petite pièce vitrée, un ancien guichet. Donc il m’installe là, bien à sa vue la porte de son bureau ouverte, et il me donne un crayon, du papier et un Dictionnaire. Je m’étais dit, plus j’y mettrai du mien et mieux se sera, alors je me suis appliqué et j’ai commencé à la lettre A. La journée s’est ainsi passé, à chaque période libre dans ce foutu guichet à la vue de tout le monde qui passe, et mes camarades s’en sont donner à cœur joie avec leurs simagrées.

Le lendemain matin le Directeur revient me voir et me demande si au lieu de copier le dictionnaire, j’accepte de travailler à mes devoirs et leçons et qu’il contrôlerait mon travail au fur et à mesure, mais que si ça n'allait pas il me remettait vite fait au copiage du dictionnaire. J’étais trop content de lâcher ce maudit dictionnaire.

Au lieu de me rebeller et de ruer comme à mon habitude, j’ai accepté la punition, j’ai bossé comme un dingue et je vous assure qu’enfermer dans cette pièce minuscule, c’était le meilleur moyen de faire passer le temps plus vite et finalement cette semaine, bien que j’étais heureux qu’elle se termine, n’a pas été si terrible et j’ai jamais autant étudié et travailler que durant cette semaine.

Tous mes devoirs d’anglais étaient terminés pour le restant de l’année et il restait 3-4 mois avant les vacances. Une bonne partie de mes devoirs de Français que je pouvais avancer, tous les travaux en cours terminés, j’ai pu être flemmard le restant de l’année grâce à cette foutue semaine!

Donc vous êtes déçus? Pas de sang, pas d’action. Le petit dur qui fait sagement ces devoirs, et le Directeur qui contrôlait mes travaux regardait tout ce que j’avais fait et trouvais seulement à me dire ‘‘C’est bien! Continues comme ça!’’. Au bout de la semaine il m’a renvoyé en disant ‘‘Plus de bagarre et tiens-toi tranquille!’’.

Je vous rappel que j’étais en 4ième année à ce collège et le Directeur m’avait clairement dit, et ont étaient très d’accord sur ce point, je ne revenais pas l’année suivante. Je ne pouvais pas partir sans aller visiter une dernière fois ce cher Directeur! Environ 2 mois avant ma libération, l’occasion s’est malheureusement présenté et j’ai eu affaire aussi cette fois au Directeur des études ou un truc du genre, un type bien charmant vous allez voir. Il y a plus d’action cette fois! À suivre…

encore, encore. je suis impatient.
je pense que une semaines juste a bosser les cours sa doit faire remonter toute les moyennes des gens ...... en plus c'est plus intéraissent que le dico....

bon, on le dit plus mais.... : la suite ! la suite ! on veut la suite !!

Je vais m'y remmettre promis...j'ai tellement de trucs qui tournent en ce moment, l'écrivain est en vacances...

on veut la suite, on veut la suite, on veut la suite

Chapitre 22 (Le grand et le petit Directeur)

Finalement je vais continuer et compléter cette période du collège. Désolé pour le délai. Attelez-vous, il est très long ce chapitre!

Donc on retourne vers la fin de ma 4ième année au collège. J’ai 16 ans et mon calvaire s’achèvait enfin sachant que je ne retournerais pas pour ma 5ième année. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises car la suite peut sembler dure à croire. Elle est pourtant véridique. J’ai dû avoir affaire encore au Directeur et à un autre gentil monsieur que vous ne connaissez pas encore. Vous allez l’aimer j’en suis sûr!

Je sortais de classe pour une courte pause de 15-20 minutes entre 2 cours, et comme je n’avais plus de cigarette je vais faire la file pour la cantine, mais comme cette période était jumeler avec tout le collège, les jeunes étant plus près de la cantine je me retrouve à la fin d’une longue file.

Le vieux Frère qui s’occupait de la cantine était bien gentil mais pas très vite, il devait bien avoir 70 ans et juste avant que je n’arrive au comptoir pour être servi, le Frère ferme les portes, VLAN! Fini! La cantine est fermée! M…de! Je regarde ma montre, il me reste un bon 5 minutes avant le cours. Je regarde mon copain et je lui dis, moi je vais au Dépanneur. Il me regarde avec des gros yeux ronds, et un sourire en coin, j’y vais avec toi!

Le dépanneur était une petite épicerie de village, situé juste à côté du collège et le bâtiment touchait presque le dortoir des secondaires 4 et 5, mais les Frères avaient fait installer une clôture en fer forgé bien haute avec des beaux piques bien longs et bien pointus, qui empêchait quiconque de passer par-dessus. Donc il fallait sortir à l’avant du collège, ce qui était totalement interdit, traverser tout le stationnement à la vue de tous les professeurs et surveillants qui pouvaient circuler devant etc.

Le risque de se faire prendre était énorme, mais moi je m’en balançais royalement. Je suis sorti sans me pressé ni rien et mon ami m’a suivi, et ont est traversé le stationnement sans courir et ont est entré dans cette épicerie. Nous avons acheté quelques trucs et des cigarettes, et en sortant comme c’était trop beau jusqu’à présent, ont arrive face à face avec le directeur de la vie étudiante ou un truc du genre.

Je ne sais pas son rôle exact au collège en dernier, mais ce gars avait été professeur d’éducation physique à un moment mais je ne l’ai jamais eu comme prof. Il était très grand et très maigre mais tout en nerf et en muscle. Ont le voyait tout le temps courir et courir, c’était un marathonien, et je ne sais pas s’il avait fait des choses horribles qu’il cherchait à se faire pardonner ou quoi, mais il avait l’air d’être au purgatoire et d’expier ces péchés en courant et soufrant sans cesse. Il n’était d’ailleurs pas un homme souriant et plutôt difficile d’approche et bête comme ces pieds. Je ne m’étais jamais frotter à lui parce que sa réputation le suivait et j’avais toujours fait gaffe à ce type.

Alors il nous regarde moi et l’autre gars, et il nous demande, ‘’Qu’est-ce que vous faites ici vous autres?’’ Moi je lui dis, ‘’je suis venu m’acheter des choses, la cantine est fermée tout simplement.’’ Il lève les bras, les yeux au ciel ‘’Mais quels imbéciles! Je n’en reviens pas deux cons pareils! Suivez-moi espèces de caves! Ça va vous coûter un vendredi après midi!’’ et bla bla bla…

Ont le suit en silence et comme je m’y attendais, il nous emmène direct vers le bureau du Directeur. Il arrête dans le couloir en face du bureau et il continue de nous insulter, et il nous dit un truc du genre ‘’placez-vous contre le mur espèce d’insignifiants!’’ Moi je passe devant lui pour me placer contre le mur et je laisse échapper un petit ‘’ Ouais…ouais…’’ Là ça s’est passé très très vite.

Il m’a tourné face à lui par l’épaule et m’a empoigné direct d’une main à la gorge et m’a plaqué violemment contre le mur et m’a soulevé par la gorge. J’avais les pieds un bon 20cm au-dessus du sol et je ne pouvais plus respirer. Je suis resté comme paralyser sans me débattre ou rien alors qu’il me criait dessus les yeux exorbités de la tête comme un fou furieux et il m’a finalement reposé au sol. Je ne me rappel plus ce qu’il me criait mais lorsqu’il s’est tourné et est entré dans le bureau du Directeur, moi j’étais complètement sous le choc et au lieu de rester sur place, sous le regard de mon ami qui était pétrifier à côté de moi, je suis parti à l’autre bout du couloir ou il y avait un téléphone, et j’ai appelé mes parents.

Quand ma mère à répondu, je ne devais pas être très cohérent, mais mon père à pris le téléphone et là il a capté immédiatement l’urgence et m’a simplement dit ‘’Je m’en viens!’’ Moi je retourne pour me mettre contre le mur avec mon ami, mais comme j’arrivais ce malade ressort du bureau et là il me voit arriver et recommence à gueuler hystérique ‘’Je t’avais dit de pas bouger!’’ Et moi je lui dis, ‘’Je suis allé appeler mon père!’’ Il me ramasse par le bras et là il regarde mon ami et lui dit ‘’Toi fout le camp! Je m’occuperai de toi plus tard!’’ Mon ami a détallé comme un lièvre!

Le gars me traîne donc dans le bureau de mon cher Directeur et là commence une vraie pièce de théâtre. Je ne me souviens pas de tout, mais le gars gueulait au Directeur que j’étais un pouilleux, un vaurien, un bum, et moi je ne me laissais pas faire et je disais, ‘’Il m’a agressé! Mon père s’en vient! Vous allez voir! Etc.’’ Et il m’a même envoyé à mon casier pour que j’aille chercher mon manteau et là il me dit de le mettre et là il dit au Directeur ‘’Regarde ce qu’il a l’air. Ce n'est rien qu’un sale pouilleux! De la graine de bandit etc.

Le Directeur le prend par le bras et l’emmène à l’extérieur en lui parlant à l’oreille lui disant probablement de ficher le camp pour le moment et qu’il règlerais cette affaire. Il revient dans le bureau prenant soin de bien fermer la porte et là il s’installe devant moi, debout les deux mains poser sur son bureau et il se penche vers moi. Moi je croyais qu’il allait encore me jouer les gros bras, mais il me dit,’’ Sait-tu maintenant ce qui va t’arriver monsieur? Tu va sortir d’ici dans une petite boite!’’ Moi je ne comprenais pas trop et je réponds. ‘’Mon père s’en vient, vous ne me faite pas peur, il m’a étranglé, vous allez voir!’’ Et il se penche encore plus vers moi et il me dit, ‘’ Non tu ne comprends pas! Quand je vais avoir fini avec toi c’est dans une petite boite que tu vas sortir d’ici!’’ Là j’ai compris qu’il était en train de me dire qu’il allait me tuer! Je dis ‘’Quoi? Vous me menacez de mort? Je lui ris en plein visage, ‘’ PFOUHA! Essayez de me toucher pour voir, et j’ai les poings serrés et je me redresse un peu dans mon fauteuil prêt à bondir. Et là il continue de plus belle quand soudain la porte du bureau s’ouvre à la volé.

Mon père s’avance le visage furieux, il me dit vient avec moi et il se tourne vers le directeur son doigt pointé à 2cm de son nez ‘’Et toi bouge pas d’ici!’’ Le directeur balbutiait mais mon père m’entraîne dans le corridor, me prend à part et regarde les marques bleues sur mon cou, et je lui montre la bosse que j’ai derrière la tête et je lui explique brièvement toute l’affaire les menaces de mort et il me fait répéter les mots exacts que le Directeur vient juste de me dire et il me dit ‘’bouge pas d’ici!’’ Et il rentre seul dans le bureau en fermant la porte derrière lui.

Là avec la grosse porte pleine et les murs de plâtres je capte que des bribes de la voix de mon père qui parle très fort et j’entends des trucs comme ‘’ Poursuite judiciaire…agression…menace de mort mais je n'entends pas la voix du Directeur, et à la fin je peux clairement entendre mon père qui gueule ‘’ Je veux le voir immédiatement!’’ Et il crie le nom du type qui m’a étranglé et ‘’faites-le venir ici tout de suite!’’ Et là la porte s’ouvre soudain et mon père vient me voir et il me demande ‘’Ce gars il a un bureau quelque part? Emmènes-moi à son bureau!’’ Je lui montre le chemin mais comme vous vous en doutez le gars avait foutu le camp et son bureau était barré et la lumière fermé.

Ont retourne alors au bureau du Directeur, et là devant moi il lui dit dans le blanc des yeux, ‘’ là tu vas bien m’écouter! Si tu menaces encore mon fils ou que n’importe qui touche encore à un cheveu de sa tête, je vais revenir m’as-tu compris? Tu m’as bien compris?’’ Lui pointant le doigt au visage. ‘’ Si je reviens ici tu n’oubliera plus jamais mon nom de toute ta vie m’as-tu bien compris? T’es sûr que tu m’as bien compris?’’ L’autre bégayait en reculant ‘’Du calme monsieur!’’ Mon père me dit ‘’ s’il y a quoi que ce soit, tu m’appels, maintenant tu n'as pas une étude ou quelque chose? Oui? Allez file! Heuu..Merci P'pa! Et en m’éloignant, je l’entends dire au Directeur quelque chose du genre ‘’Toi, souhaites que je ne revienne pas ici, parce que ça va aller très mal!’’

Après cet épisode, j’ai plus eu affaire ni au Directeur, ni à cet espèce de grand débile. Je suis rester à carreau je dois dire, mais je ne crois pas que le Directeur s’en serait pris encore à moi de toute façon. Mes amis se sont bien éclatés en me faisant raconter cette histoire encore et encore. Quelques mois plus tard, j’étais enfin délivré de cet enfer, et c’est à l’école public que j’ai fait ma 5ième année du secondaire.

Croyez-vous que c’est fini? J’ai bien quelques chapitres sur cette année et demi que j’ai passé à l’école publique. 1000 élèves environs, des filles partout, de la drogue dans tous les coins…Ouais j’ai bien quelques anecdotes à vous raconter!

Et l'histoire de notre relation, t'attends quoi pr la raconter Aloha, hein??

tarot ton chapitre aloha. ton livre quand tu le publis, j'achete.....

trop bien ce chapitre, n'empeche il devait avoir de la force le "grand imbecile" pour te soulever a une main

Mister Fifou a écrit:

trop bien ce chapitre, n'empeche il devait avoir de la force le "grand imbecile" pour te soulever a une main

Je pesais 52-54 kilos max, et ce gars mesurait au moins 1m82 et oui il devais être asser fort, mais vu ma taille c'est pas exceptionnel. J'étais tout petit dans le 1m52..un homme qui lève un enfant! ..et c'était pas gentil dutout!

J'ai hate de lire la suite!

Au fait j'aimerais que sur l'île que t'acheterais, tu fasse un immense skate parc et se seré cool!
Sait on jamais, desfois que tu m'invite...

florian38 a écrit:

J'ai hate de lire la suite!

Au fait j'aimerais que sur l'île que t'acheterais, tu fasse un immense skate parc et se seré cool!
Sait on jamais, desfois que tu m'invite...

Ha oui c'est vrai..j'avais presque oublié cette histoire d'île...je me rappel plus ou j'avais posté ça en fait? Je vais récapituler.

Pour ceux qui auraient manqués cet épisode, je disais que je publierais cette histoire et qu'alors je deviendrais millionnaire et qu'avec tout ces millions je m'achèterais une île déserte ou je construirais un méga complexe de vacances avec comme thème le skate bien sûr. Plusieurs skate-parcs sont prévus, des airs de flats et des parcs intérrieurs climatisés et extérieurs sur les plages, des belles jeunes filles G.O. pour bien s'occuper de tout mes potes skaters, des scène avec des musiciens etc. La débauche totale quoi!

Ensuite j'ai dit que je prendrais tout ceux du forum qui veulent y bossé à 50 000 euros par années pour ''surveiller'' le site et s'assurer que tous s'éclatent au max, et tout les skaters du monde rêverons d'y venir. J'aurai des invités spéciaux, des pros qui donnerons des leçons et des conseils aux jeunes, mais les sponsors, les magazines, les grandes industries du skate qui ne pensent qu'à l'argent seront proscrit de mon île. Que du skate pure, sans chichi ni prise de tête.

Mon île sera indépendante de tout régime et les seuls lois seront les miennes. La sécurité sera assuré par des belles femmes dans la trentaine et athlétiques, qui comme sanction donneront la fessé devant tout le monde à tout ceux qui enfreindrons mes règles...pas de polices, pas de gros bras sur mon île. Ça devrais calmer la plupart, sauf peut-être Taimu qui lui, voudra avoir la fessé 3-4 fois par jour, mais bon..j'accepterai tout le monde avec leurs qualités et leurs défauts..Même Taimu!

Je me vois trônant au centre dans mon gros fauteuil en osier, avec ma longue barbe blanche entouré de nymphes en jupes Hawaiennes qui me dorlotent...

...AIE! Oui oui chérie je viens t'aidé à préparer le soupé...Mer..de!, je viens de me faire pèter ma bulle là! ..mais sa fait pas de tors de rêver!

Alors je réserve votre place tout de suite?

il faut qu'on se cautise pour rendre aloha millionaire

Aloha je me suis surpris à vivre chaque détail que tu décris au fur et à mesure de ma lecture d'une façon un peu trop réelle pour ne pas ignorer que je crève d'envie d'une île comme ça... millionnaire... tu trouves une nouvelle faille de microsoft (facile ) et tu fait un procès à Bill Gates qui t'envoie un chèque de dédomagement te faire taire ? y'a moyen de se faire du blé là

Ahhh la buuuullle !!!

Et les massifs de Rhododendrons ??? bah ouais quoi merde !!!

Au fait j'ai oublié de te demander un petit pot de fleur pour que je puisse y planter quelque fleurs afin de rendre l'atmosphere de l'ile encore plus relaxante et agréable au quotidien, car une plante est tout ce quil y a de plus chere au monde car le bourgeon qui produira une belle fleur sera de nouveau remplacé par un autre bourgeon et ce bourgeon fanera a son tour et laissera la place a un nouveau bourgeon qui laissera la place a un autre bourgeon qui laiss...
Bref, j'aime les petites philosophies a la Jean Claude Van Damme...

r

alors Aloha tu dors?


On veut la suite, une nouvelle saison